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Les effets favorables de COVID-19 pour la Planète

Le site Voyages Scientifiques présente les conséquences positives pour la Terre des mesures gouvernementales prises suite au coronavirus. ↓ Lire le descriptif détaillé plus bas ↓

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Grande Campagne d’Observation Citoyenne !
Contribuez à cette page ! Cette liste sera présentée à l’ONU en Décembre 2020 dans le cadre du FORUM MONDIAL DE GENEVE afin de mettre en valeur tout ce qu’il est réellement possible de changer quand on le veut vraiment ;)
L’ONG Objectif Sciences International (Voyages Scientifiques Voyages Scientifiques
Voyage Scientifique Il ne s’agit pas d’un voyage réservé aux professionnels des sciences, mais d’une occasion pour tous de découvrir les sciences. Il s’agit de profiter de ses vacances pour s’enrichir et participer à la réalisation d’une vraie cause pour la sauvegarde de la planète. ) proposera ainsi à l’ONU, via son FORUM DE GENEVE, une véritable check-list de solutions, réalistes, car déjà mises en œuvre dans le cadre de COVID-19.

Malgré les bouleversements humains et économiques, certains effets bénéfiques pour la nature et l’environnement peuvent être observés grâce aux restrictions humaines déterminées par les Etats pour faire face à cette pandémie. En plus de diminuer drastiquement et rapidement la pollution suite à l’inactivité humaine, ces mesures inédites ont des conséquences positives pour la biodiversité, la nature et la planète en général (le monde vivant et non vivant). En effet, de nombreux animaux respirent à nouveau en profitant des espaces laissés libres par les Hommes et le confinement pousse les populations à réfléchir à une transition écologique permettant de vivre plus harmonieusement avec notre Terre Mère.

Cet article collaboratif est nourri de vos contributions à tous, merci. Veuillez noter que certaines personnes de la famille de l’auteure qui compile vos observations dans cet article sont membres du personnel de santé et travaillent en ce moment dans les hôpitaux ! Nous avons donc parfaitement conscience de ce qui se passe de difficile du fait de cette situation, nous remercions tous ceux qui sont en 1re ligne et s’acharnent en prenant des risques pour le bien de tous afin que le monde puisse continuer de tourner au mieux. Nous ne sommes donc pas naïfs des conséquences négatives de cette crise sanitaire et nous respectons grandement les profondes blessures infligées aux écosystèmes humains. Cependant, nous avons voulu amener un peu de légèreté avec cette page en listant spécifiquement tout ce que les décisions des êtres humains, à l’occasion de COVID-19, font de bon à la planète Terre.

Grande Campagne de Recherche Participative Citoyenne !
Nous avons besoin de vous tous pour compléter cette page du site voyages scientifiques Voyages Scientifiques
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Tout en bas de cette page, retrouvez deux formulaires :

  • Déposez vos propres observations !
  • Dénoncez en direct toute Fake News que vous avez détecté sur cette page !(unique dans le monde des pages web !)

Coronavirus, SARS-CoV-2, COVID-19 ?

Les coronavirus sont des virus « à couronne » de la famille des Coronaviridae, qui regroupe des souches de particules virales enveloppées par des excroissances ressemblant à une couronne. Ces pathogènes, naturellement présents chez les oiseaux et les mammifères, sont parfois auteurs de zoonoses, maladies transmises à l’Homme par contact étroit avec des animaux sauvages. Une fois l’être humain atteint, les virus se propagent ensuite à d’autres individus via des gouttelettes respiratoires (éternuements, toux, postillons). Bien qu’ils soient généralement responsables d’infections digestives et respiratoires bénignes (comme le rhume), certaines formes plus rares peuvent également toucher le système nerveux et engendrer des insuffisances pulmonaires ou cardiaques, et ainsi être mortelles. C’est le cas notamment de la souche de coronavirus qui est la cause de la maladie pandémique qui a commencé en décembre 2019 à Wuhan, en Chine. Ce virus a donc été nommé SARS-CoV-2 pour Syndrome Aigu Respiratoire Sévère dû au CoronaVirus. Puisque le nom SARS-CoV avait déjà été utilisé pour identifier la souche de coronavirus responsable de l’épidémie de syndrome respiratoire aigu sévère en Chine en 2003, un « n » avait initialement été ajouté (nCoV-2019) afin de décrire cette Nouvelle souche, mais la souche particulièrement virulente de 2019 a finalement été rebaptisée avec un « 2 » donnant donc SARS-CoV-2. Cependant, afin de faciliter les échanges, la maladie à coronavirus de 2019 est également abrégée en COVID-19, provenant de l’anglais CoronaVirus Disease 2019.

Sources :
https://www.futura-sciences.com/sante/definitions/medecine-coronavirus-13502/
https://dicocitations.lemonde.fr/dico-mot-definition/186773/Coronavirus.php
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coronavirus_2_du_syndrome_respiratoire_aigu_sévère
https://www.youtube.com/watch?v=TeCEnOY3jGs

Epidémie vs Pandémie

Dans cet article, les mots « épidémie » et « pandémie » seront employés de façon interchangeable. Même s’il n’existe pas de définition officielle d’une pandémie, il est admis par la communauté internationale que ce terme désigne une épidémie qui se développe à l’échelle mondiale, ou sur de vastes zones internationales traversant des frontières, et touchant le plus souvent un grand nombre de personnes. COVID-19 initialement désignée comme épidémie, a été requalifié en pandémie par l’OMS le 13 mars 2020.

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_O° ENJEUX CLIMATIQUES °O_

Diminution de la pollution de l’air

Depuis le début de la crise sanitaire liée à COVID-19, les images des satellites produites par la NASA montrent que la pollution atmosphérique s’est nettement atténuée dans plusieurs pays, notamment en Chine, foyer de l’épidémie, mais également en Italie, en France, aux Etats-Unis et en Inde. Ces effets bénéfiques visibles depuis l’espace s’expliquent aussi bien par l’arrêt des installations industrielles et des centrales électriques, que par le confinement d’une grande partie de la population qui n’utilise donc plus de véhicules polluants (voiture, avion, bateau...). La salamandre relève par exemple une diminution de 63% des vols commerciaux dans la dernière semaine de mars, ainsi qu’une réduction du trafic routier de 30 à 40%. En conséquence, la qualité de l’air s’améliore et contribue ainsi au bon maintien des écosystèmes ainsi qu’à celui de la santé humaine et animale. Comme expliqué dans le communiqué de presse de Airparif, une « évaluation met en avant une amélioration de la qualité de l’air de l’ordre de 20 à 30 % dans l’agglomération parisienne, consécutive à une baisse des émissions de plus de 60% pour les oxydes d’azote. Le long des axes de circulation, cet impact peut être encore plus important. Il était en revanche peu visible pour les particules (PM10 et PM2,5) lors de ces premiers jours de confinement. Autre bonne nouvelle, cette baisse des polluants de l’air s’accompagne d’une baisse du dioxyde de carbone (CO2), gaz à effet de serre, soulignant les liens entre ces deux problématiques et le co-bénéfice pour le climat de toute amélioration de la qualité de l’air ».

Des photos reçues par des correspondants de l’équipe Voyages Scientifiques, présents en direct à Pékin, nous montrent en effet le beau ciel bleu dégagé de cette ville habituellement très polluée. De même, l’Himalaya, habituellement caché par un nuage de pollution, peut à nouveau être vu à plus de 200km depuis plusieurs endroits des plaines de l’Inde, chose qui n’était pas arrivée depuis plus de 30 ans !


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Diminution des tremblements de terre

En plus de réduire la pollution de l’air, cette situation de calme exceptionnel a également permis d’atténuer sensiblement le bruit de fond sismique. La planète, vibrant naturellement au rythme de l’Homme et de ses déplacements (voitures, trains, bateaux, avions…), s’est alignée à l’inactivité humaine et tremble moins depuis le début du confinement. Plusieurs sismologues ont observé ce phénomène à différents endroits du globe terrestre, menant parfois à une baisse de 30 à 50%. Les sismographes moins perturbés deviennent alors plus performants et permettent aux scientifiques de faire des recherches plus pointilleuses sur les emplacements des répliques sismiques.

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Diminution du réchauffement climatique Réchauffement climatique
Dérèglement climatique
Changement climatique La question de savoir si on est en réchauffement ou en changement climatique fait partie de nombre de nos séjours de recherches participatives et de sciences citoyennes :

Selon les observations des scientifiques, les émissions de gaz à effet de serre (principalement dioxyde de carbone, dioxyde d’azote et méthane) ont radicalement chuté en l’espace de deux mois à la suite des recommandations visant à contenir la propagation de cette maladie infectieuse, allant d’une baisse de -10% à -30% selon les localisations par rapport à la normale observée en cette période de l’année. Puisque les excès d’émissions de ces gaz toxiques sont une des principales causes du réchauffement climatique Réchauffement climatique
Dérèglement climatique
Changement climatique La question de savoir si on est en réchauffement ou en changement climatique fait partie de nombre de nos séjours de recherches participatives et de sciences citoyennes : planétaire, certains articles comme celui du magazine le media Vert parle même que « ces diminutions peuvent donc résulter, même légèrement, en un refroidissement climatique dans le monde entier ». Ce virus SARS-CoV-2, bien qu’attaquant les poumons des êtres humains, offrirait peut-être indirectement une petite pause à la planète qui peut à nouveau respirer légèrement.

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Amélioration de la santé de la couche d’Ozone

Bien que la couche d’ozone soit en voie de guérison grâce au Protocole de Montréal datant de 1987, comme l’indique l’article publié dans la revue Nature le 25 mars 2020, il se peut que cet arrêt brutal de l’activité humaine ait également des répercussions positives sur la qualité de la stratosphère. En réduisant drastiquement les productions industrielles, notamment en réduisant l’émission de Substances Appauvrissant la couche d’Ozone (SAO, telles que les ChloroFluoroCarbures CFC, les HydroChloroFluoroCarbures HCFC, les halons, le bromure de méthylène ou les oxydes d’azote), les trous de la couche d’ozone pourraient se cicatriser et rétablir ainsi l’équilibre physico-chimique de notre atmosphère. La couche d’ozone, nous protégeant des rayons ultraviolets du Soleil, est vitale puisque sans elle, toute forme de vie sur Terre ne serait tout simplement pas possible. Il est donc crucial que nous prenions soin de sa santé en régulant nos productions de résidus polluants et en favorisant des énergies renouvelables aux dépens des énergies fossiles.



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Modifications des flux de vent autour de la planète

La couche d’ozone est liée à la circulation atmosphérique des courants d’air, qui eux, sont responsables des vents sur Terre. Sachant que les modifications de la trajectoire d’un courant d’air rapide et confiné dans l’atmosphère (appelé aussi courant-jet ou jet stream) peuvent influer sur les conditions météorologiques, la régénération de la couche d’ozone pourrait donc entraîner des changements dans la température des océans et la concentration de sel dans ces derniers via un bouleversement des précipitations. Les feux effarants d’Australie en sont d’ailleurs un exemple flagrant de ces modifications et de leurs impacts à l’échelle humaine, puisque les modifications du jet stream ont accru le risque de sécheresse en éloignant la pluie des zones côtières. En toute logique, la restauration de la couche d’ozone et donc des flux de vent autour de la planète permettrait d’inverser certains dommages causés à l’environnement.

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_O° BIODIVERSITE °O_

Sauvegarde de certaines espèces menacées

Le pangolin, aussi appelé le fourmilier écailleux, est un mammifère vivant en Afrique et en Asie du Sud-Est. A cause de ses écailles prisées par la pharmacopée chinoise et de sa bonne viande, cet insectivore est l’une des espèces les plus braconnées au monde. Malheureusement peu connues, toutes les espèces de pangolins sont menacées, dont plusieurs classées en critique d’extinction (CR) sur les listes de l’UICN. Etant naturellement porteurs de coronavirus (il existe de nombreuses souches de ce virus depuis longtemps), le pangolin ainsi que certaines espèces de chauves-souris, de civettes (chats musqués) et de serpents, sont suspectés d’être des possibles « hôtes intermédiaires » à l’origine de la pandémie. En effet, de nombreuses infections d’origine animale sont transmises à l’Homme par contact étroit, comme c’était le cas de la transmission du SRAS en 2003 par des civettes, d’Ebola en 2013 par des chauves-souris, de la grippe H1N1 de 2009 par des porcs ou du SIDA dans les années 1920 par des chimpanzés. En 2019, le SARS-CoV-2 s’est donc probablement propagé à l’Homme par l’achat et la consommation d’animaux sauvages, « réservoirs » à coronavirus, présents notamment sur les marchés chinois comme à Wuhan. Par peur de nouvelles contagions, les ventes de pangolins ont déjà diminué et les acheteurs chinois se raréfient. On peut donc espérer un recul du commerce et du braconnage, préservant ainsi ces populations fragiles. Selon une étude publiée en Avril dans Nature, la vie marine pourrait également être restaurée d’ici 2050 si l’on adopte rapidement et radicalement des mesures de conservation permettant de faire diminuer rapidement la pression humaine. En effet, on pourrait voir une résurgence des récifs coralliens, composants essentiels des écosystèmes océaniques, si nous agissons maintenant en luttant contre la surpêche, la pollution plastique, le réchauffement climatique et donc l’acidification des océans.

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Apparitions de la panthère des neiges

Alors que les Hommes sont confinés et ne sortent plus de chez eux, un des animaux les plus rares de la planète a profité de ce calme pour ressortir de sa cachette et se faire observer de près dans le parc national de Sailugem, au sud de la Russie. Grâce au sentiment de confiance instauré par cette situation inédite, une femelle léopard des neiges, espèce pourtant méfiante et fortement menacée d’extinction, a été photographiée plusieurs fois à une vingtaine de mètres par le chercheur Aleksey Kuzhlekov, participant du projet Russe « Préservation de la diversité biologique et développement du tourisme écologique ». Bien que ces « fantômes de la montagne » soient indispensables pour le maintien de l’équilibre écologique de la région Russe, il resterait seulement entre 4000 et 7500 individus dans le monde et nécessitent donc une protection urgente. Depuis 1998, des mesures ont été prises afin de préserver cette espèce, notamment en interdisant le braconnage et en établissant des zones protégées. Si vous aussi vous rêvez d’aventure et de rencontrer cet animal emblématique, pensez à rejoindre une des expéditions en sciences participatives sciences participatives Les sciences participatives et sciences citoyennes sont au cœur de notre projet. En effet, c’est un moyen ludique et citoyen de compléter des travaux scientifiques.

Lors des différentes missions, nous regroupons les données que nous avons récoltées et les partageons avec le monde de la recherche. Cela permet à tous ceux qui sont intéressés par la recherche scientifique, sans pour autant avoir une implication directe dans la recherche, de s’informer des dernières avancées
Votre action contribue donc à l’avancée de la science !


L’exercice de vulgarisation scientifique prend différentes formes. Il peut s’agir de l’observation de différentes espèces animales : oiseaux, insectes, reptiles et mammifères, afin de les répertorier. Cela peut également s’appliquer à la biodiversité marine. La vulgarisation peut également être appliquée à la géologie grâce au développement des technologies satellites qui se sont démocratisées grâce à l’essor du drone (géo-référencement), et même dans le domaine de l’astronomie par la cartographie du ciel.

Les possibilités sont nombreuses et ne demandent qu’à être saisies.

L’expérimentation des nouvelles technologies de collecte scientifique fait partie intégrante de nos séjours. L’utilisation de la photographie numérique, des Spectrophotomètres, ainsi que de microscopes et de drones font partie du matériel que nous mettons à disposition dans nos colonies de vacances.
Les séjours que nous proposons sont aussi variés que les outils scientifiques à notre portée : observation de l’éclipse totale aux Etats-Unis en 2017, suivi des cétacés à Tahiti, ou encore découverte de la somptueuse panthère des neiges au Kirghizstan sont au programme. qui se préparent plusieurs fois par année avec Objectif Sciences International en partenariat avec différentes réserves naturelles au Kirghizstan et au Népal dans le but d’étudier la panthère des neiges et son écosystème.

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Prise de conscience Prise de conscience Fait de comprendre quelque chose. liée au confinement

Dans le but de lutter contre l’expansion du coronavirus, de nombreux pays ont mis en place des règles de confinement des populations, évitant ainsi les déplacements et les contacts entre les citoyens. D’innombrables personnes se retrouvent donc enfermées chez elles, bien souvent dans de petits endroits, soit dans une profonde solitude, soit en cohabitation avec plusieurs autres individus. En France, un décret a été déposé le 24 mars 2020 afin de durcir le règlement qui autorise seulement les sorties de domicile justifiées par une attestation de déplacement dérogatoire datée et signée, sous peine d’amendes, voire d’emprisonnement en cas de récidives. Après un certain nombre de jours de confinement, certains internautes ont relevé la similarité entre leurs conditions de vie et celles que l’on inflige aux animaux se trouvant confinés dans des parcs zoologiques. On peut donc souhaiter une prise de conscience Prise de conscience Fait de comprendre quelque chose. collective qui permettrait d’améliorer les conditions de détention animale, en leur offrant des espaces adaptés, aussi bien au niveau spatial que social. L’absence de visiteurs dans le zoo de l’Ocean Park à Hongkong a d’ailleurs produit un petit miracle : deux pandas se retrouvant dans l’intimité en ont profité pour s’accoupler en toute tranquillité, un comportement attendu depuis plus d’une dizaine d’années !

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Un répit pour les animaux

Par suite du confinement, de nombreux espaces habituellement occupés par l’être humain retrouvent leur tranquillité. L’absence de perturbations, de mouvements, de bruits et de pollutions amène la faune sauvage à réapprivoiser ces surfaces nouvellement vacantes. De belles observations ont été faites un peu partout dans le monde : des poissons et des cygnes profitaient des eaux redevenues claires à Venise (Italie), des canards se baladaient devant la Comédie Française à Paris (France) ou sur un quai en Turquie, un dauphin Dauphin
Baleine Dauphins, baleines, plancton, découvrez la richesse des océans en participant à nos stages nature baleines et dauphins. nageait gaiement dans le port de Cagliari (Sardaigne) et d’autres jouaient dans celui de Saint Lauren du Var (France), des rorquals se sont rapprochés des touristiques calanques de Marseille (France), des chèvres sont venues brouter les haies à Llanduno (Pays de Galles), des sangliers ont été vus se promener à Barcelone (Espagne) et à Talence (France), des chevreuils ont été observés se promener en centre-ville de Toulouse (France), des cerfs se pavanaient dans les rues de Boissy Saint-Léger en région parisienne (France), un loup se baladait sur les pistes de la station de Courchevel (France), un autre individu canin a été observé dans une réserve de chasse d’un petit village Haut-Savoyard (France) et un puma visitait la ville de Santiago (Chili). Les sorties étant également restreintes en milieu naturel en ce printemps, saison du renouveau de la nature, du réveil des hibernants et de nombreuses naissances, cette période de confinement pourrait donc également être bénéfique à une légère augmentation de densité des populations sauvages de nombreuses espèces animales. Le cycle de reproduction des oiseaux étant d’avril à juillet, la situation liée à COVID-19 pourrait par exemple amener un respect accru de cette période délicate grâce à une diminution du stress lié aux perturbations humaines, profitant ainsi aux nouvelles couvées qui peuvent se développer en toute sérénité. Il se peut également que la diminution du stress grâce au ralentissement des activités humaines facilite les migrations de ces beaux volatiles.

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Quartiers libres pour les animaux en ville

Certains animaux, bien souvent nourris par les promeneurs, sont déjà habituellement présents dans des environnements urbains. Suite à l’absence des citoyens, ils se retrouvent donc avec « quartiers libres » et s’aventurent plus loin en ville dans des zones inhabituelles. C’est le cas par exemple des singes qui ont envahi la ville de Lopburi (Thaïlande), des célèbres daims du parc naturel de Nara (Japon) qui sont venus se régaler en ville ou des « Chitals », sorte de cervidés observés dans les rues de la ville de Trincomalee (Sri Lanka). Les quartiers vides, les villes silencieuses, la diminution de la pollution de l’air et des eaux offrent donc un répit de compétition spatiale pour le monde sauvage et contribue à l’augmentation de la qualité des écosystèmes, qui à leur tour, sont favorables à l’amélioration de la biodiversité.

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Renaissance des tortues

En raison de la quarantaine, les plages sont devenues désertes laissant ainsi la nature reprendre ses droits et les êtres se manifester. C’est le cas par exemple sur la plage de Pernambuco au Brésil, où l’absence de baigneurs en mars 2020 a permis à 204 tortues imbriquées et 87 tortues vertes de voir le jour sans être dérangées. Seuls les employés de la ville de Paulista ont pu assister à ce spectacle émouvant. Les tortues imbriquées se reproduisant seulement tous les deux ou trois ans, et étant convoitées pour leurs viandes, leurs œufs et leurs carapaces, sont classées en danger critique d’extinction par l’UICN. La naissance de ces petites tortues représente alors un bel espoir de pérennité pour cette espèce tant menacée.

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Une nouvelle « liberté » pour certains éléphants

Suite à la chute du tourisme provoquée par la pandémie, le camp d’éléphants de Maesa à Chiang Mai en Thaïlande, offrant habituellement des balades à dos de pachydermes pour le plaisir des visiteurs, a décidé de ne plus exploiter leurs animaux. Depuis environ 44 ans, ces 78 individus portaient d’énormes sièges en bois et en métal en plus de celui des occupants, ce qui nuisait grandement à leur santé et à leur mobilité. Désormais, ces majestueux animaux retrouvent une certaine liberté et ne devront plus « travailler » pour le transport des voyageurs, mais pourront vivre librement dans un habitat similaire à leur environnement naturel. Cependant, ils resteront quand même la principale attraction touristique du camp puisqu’ils pourront être observés et serviront d’outils pédagogiques afin d’éduquer le public aux modes de vie de ces animaux sauvages. La vulgarisation des connaissances et une meilleure compréhension globale de cette espèce menacée pourraient leur procurer une meilleure protection à l’avenir.

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Diminution de la mortalité routière

Bien que la mortalité routière varie selon les régions, la quasi-totalité des espèces animales est concernée par ces collisions, bien souvent fatales. Une étude a montré qu’au moins 16292 chevreuils, 5542 sangliers et 1554 cerfs, soit 23338 grands mammifères étaient victimes d’accidents de la route en 2004 en France, la plupart mortels. Des chiffres malheureusement en progression suite au développement humain, puisqu’en Haute-Garonne par exemple, le taux de mortalité routière a augmenté de 48% en une année, passant de 611 sinistres en 2008 à 902 en 2009. Une espèce malheureusement emblématique dans ce domaine est le hérisson, dont le rare suivi et les incidents non répertoriés ne permettent pas d’obtenir de chiffres précis. Cependant, grâce à la diminution des déplacements liée aux mesures prises pour lutter contre COVID-19, les transports, notamment routiers, ont très nettement diminué. Par conséquence, les collisions se raréfient au plus grand bonheur des animaux qui peuvent donc circuler librement. Par la même occasion, notons également que ce phénomène est aussi bénéfique pour l’Homme, dont plusieurs milliers meurent chaque année sur les routes (3248 décès en métropole française en 2018).

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_O° BIENFAITS POUR L’ETRE HUMAIN °O_

Amélioration des relations sociales

Comme le dit la citation : « La distance est juste un test pour voir jusqu’où l’amour peut voyager », la distanciation sociale nous ouvre les yeux et le cœur sur les personnes que l’on aime et qui nous manque mais que l’on ne peut plus voir à cause des restrictions du confinement. Bon nombre de musiciens se retrouvent « en ligne » pour chanter ensemble, de même que beaucoup d’amis se font des « Skypéros » pour continuer de boire quelques verres ou des « coronanniversaires » pour fêter dignement ces jours en bonne compagnie. En plus de resserrer certains liens familiaux et amicaux, cette épidémie aura également l’avantage d’améliorer les relations sociales que l’on entretien avec notre voisinage. En restant de manière durable à son domicile, on vient en effet à rencontrer plus régulièrement nos voisins et puisque ce sont les seules personnes que nous croisons, nous sommes donc heureux de prendre le temps de papoter un peu.

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Augmentation des gestes solidaires

Un autre impact positif à l’échelle humaine en cette période de crise, c’est l’augmentation de l’entraide et des gestes responsables et solidaires entre citoyens. Pendant que certaines personnes offrent leur temps et leur énergie en se proposant de faire les courses pour des personnes plus vulnérables, d’autres proposent leur talent de couturiers ou leurs imprimantes 3D pour fabriquer des masques pour ceux qui sont dans le besoin. Décathlon a d’ailleurs également retiré ses masques des ventes, habituellement utilisés pour la plongée, afin de les offrir aux équipes médicales. De nombreux sites internet mettent en ligne gratuitement de multiples activités à faire depuis chez soi. C’est le cas notamment de certains musées, de sites dédiés à la lecture ou au visionnage de films, ou de particuliers qui donnent des cours aussi bien scolaires pour aider à faire les devoirs à la maison, que des encadrements de bien-être pour le développement personnel tels que des leçons de yoga ou de méditation. Certains membres de la communauté de Facebook se rassemblent quotidiennement lors d’une méditation universelle. De même, les habitants sont invités à exclamer des remerciements universels pour le personnel soignant et tous ceux qui sont en première ligne en applaudissant tous les soirs à 20h depuis leur fenêtre ou leur balcon. Enfin, des policiers ont été vus offrir des sérénades à des villageois pour les réconforter en ces moments difficiles. Autant de gestes engagés qui ne sont pourtant pas si compliqués, mais bien souvent malheureusement oubliés dans un quotidien anxiogène que nous imposait le rythme de la société avant l’apparition de cette pandémie.

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Respirateurs artificiels

Afin de faire face aux nombreux cas aigus de détresse respiratoire causée par le coronavirus, de multiples fabricants de respirateurs artificiels se mettent à l’œuvre pour fournir les soins intensifs dans le besoin. De nombreux pays travaillent donc intensément afin de satisfaire les demandes, comme le montrent les respirateurs suivant venant d’Italie, d’Espagne, de France, des Etats-Unis ou de collaborations internationales.

Respirateur italien :
* se branche directement sur la prise 02 de la chambre d’hôpital
* plans libres de droits, en accès libre, pour qui veut imprimer
https://www.isinnova.it/easy-covid-19-fr

Respirateurs espagnols :
* certification en cours
* les plans seront distribués une fois la certification ayant eu lieu

Respirateur français :
* certification en cours
* les plans seront distribués une fois la certification ayant eu lieu
https://www.mur-project.org

Respirateurs américains :

Respirateur international :
Canada : Open Source Ventilator & Irelande : OpenLung BVM Ventilator
https://gitlab.com/TrevorSmale/OSV-OpenLung
https://openlung.org
https://opensourceventilator.ie
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Amélioration de l’hygiène de vie

Puisque le virus du SARS-CoV-2 est hautement contagieux, de nombreuses précautions sont prises afin d’éviter toute nouvelle contamination. Les populations réapprennent donc certains gestes simples mais efficaces tels que se laver les mains correctement, utiliser des mouchoirs jetables et tousser ou éternuer dans son coude. En plus d’aider à freiner la propagation du virus, ces gestes sains ont également permis une nette diminution du nombre de cas de grippe, maladie saisonnière provoquant habituellement entre 1500 et 2000 décès par an en France, mais pouvant aller jusqu’à plus de 8000 décès lors d’épidémies de grande intensité avec une surmortalité élevée comme c’était le cas lors de la saison 2018-2019. De plus, la fermeture des restaurants et des fast-foods encourage de nombreuses personnes, confinés à domicile, à prendre le temps de cuisiner de bons petits plats équilibrés. La santé passant par une alimentation saine, le système immunitaire de ces personnes est donc boosté, diminuant ainsi le risque de symptômes graves de la maladie.



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Médecines alternatives

Puisqu’aucun traitement ne semble actuellement efficace contre le coronavirus, une ouverture d’esprit aux médecines alternatives se fait ressentir. Par exemple, le personnel soignant de l’hôpital de Madrid s’est regroupé dans un couloir afin de chanter un mantra, un chant d’Asie leur offrant une pause bienvenue dans leurs journées difficiles déjà bien chargées. Depuis quelques années, la musicothérapie, ou l’art de se soigner par la musique, semble montrer de multiples effets positifs sur la santé humaine, comme une réduction de l’anxiété, une amélioration du sommeil, un soulagement des douleurs ou encore un adoucissement des symptômes liés à certaines maladies (schizophrénie, autisme Autisme
Autiste
Autistes Se caractérise par la perturbation du développement cognitif et/ou affectif. , Parkinson). Bien qu’au centre de débats, l’utilisation de l’hydroxychloroquine, un dérivé de la synthèse de quinine qui est elle naturellement présente dans un arbre et servant habituellement à lutter contre le paludisme, semblerait être efficace dans la lutte contre COVID-19. En plus d’apporter de l’espoir pour la santé humaine, ce traitement à base de substances naturelles pourrait être bénéfique pour le développement de médecines alternatives, telles que l’utilisation d’huiles essentielles, bien souvent mises à l’écart. Pour compléter ce que les industries pharmaceutiques nous apportent déjà, on peut alors espérer que cette pandémie amène les gouvernements à investir de manière plus responsable dans des recherches scientifiques prouvant entre autres, l’efficacité de certains produits jusqu’alors peu prescrits. Des recherches intéressantes pourraient également être réalisées sur un petit village d’irrésistible Lombardiens, dont la population semble être naturellement immunisée face à ce virus (aucun cas positif n’a jusqu’à présent été détecté). Une meilleure compréhension de leurs systèmes immunitaires couplée à une utilisation plus variée de médicaments et de produits alternatifs naturels permettraient potentiellement une prévention accrue de futures potentielles contaminations. Comme on le dit si bien, « mieux vaut prévenir que guérir ».

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Accroissement de la créativité

En période de confinement, plus le temps passe et plus la créativité semble croître. En effet, une bonne manière de ne pas tourner en rond et de se divertir en ces temps de crise sanitaire est de multiplier et diversifier les activités, jusqu’à en créer de nouvelles. Par exemple, un jeune comédien a eu l’idée de lancer une parodie du célèbre jeu télévisé français « Questions pour un champion » en invitant ses voisins à venir répondre à des questions sur leur balcon ! « Question pour un Balcon » ayant fait le buzz sur internet, le créateur de ce divertissement, Noam Cartozo, se fait maintenant sponsoriser, ce qui lui permet d’offrir des cadeaux solidaires aux gagnants comme recevoir une livraison de courses à domicile ! D’autres sites internet, et notamment les réseaux sociaux, n’hésitent pas à partager toute sorte de bonnes idées à faire pour égayer les longues journées de confinement, aidant ainsi particulièrement les parents à court d’idées pour amuser leurs enfants.

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_O° DETOXIFICATION DE NOTRE MODE DE VIE °O_

Reconnexion avec la nature

Le rythme effréné de nos vies « métro-boulot-dodo » ne laisse malheureusement pas beaucoup de place à la nature qui nous entoure. Pourtant le contact avec la Terre est essentiel et engendre des effets positifs sur notre esprit et notre corps. Par exemple, des chercheurs ont montré que le simple contact visuel Visuel
visuels Qui touche le sens de la vue. avec des arbres permet une baisse du stress, de la tension artérielle et donc une amélioration de notre bien-être général, physique et mental Mental
mentaux Qui a rapport aux fonctions intellectuelles et aux dispositions psychologiques. . De même en ville, les employés dont la fenêtre donne sur de la verdure se disent plus heureux au travail et dans leur vie privée. Cette période COVID-19 où tout semble s’arrêter pour l’Homme, nous offre enfin le temps d’observer attentivement les êtres vivants qui s’activent autour de nous, ne serait-ce qu’à travers notre fenêtre, sur notre balcon ou dans notre jardin. L’éveil de nos sens, tels que la vue et l’ouïe, nous permettent alors de prendre conscience de la faune et flore sauvage rencontrées en milieu urbain, ainsi que les belles vocalisations des oiseaux qui gazouillent aux alentours. De par ses bienfaits sur la santé humaine, cette reconnexion à la nature pourrait pousser les populations à faire évoluer les agglomérations en augmentant le nombre d’espaces verts, propices à la biodiversité.

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Devenir « locavore »

Selon un extrait du texte écrit par Coline Serreau : « il faudra relocaliser, produire de nouveau chez nous, se contenter de nos ressources, qui sont immenses, et détricoter une partie de la mondialisation qui n’a fait que nous appauvrir ». Cela est valable autant pour la relocalisation d’entreprises, les conséquences de COVID-19 nous ayant bien éclairé sur notre dépendance entretenue avec la Chine, que pour les exploitations agricoles. En plus de créer de l’emploi et de réaliser des bénéfices, ce changement de positionnement permettrait de renforcer la résilience économique, alimentaire et environnementale et d’améliorer le bien-être tant des collectivités rurales qu’urbaines grâce au passage de l’agriculture industrielle à l’agriculture régénérative. Suite à la restriction des vols commerciaux, les supermarchés se réapprovisionnent gentiment en fruits/légumes 100% français. De plus, on relève un boom des circuits courts tels que la vente directe à la ferme ou la livraison des paniers type « Amap ». Un annuaire participatif et communautaire a d’ailleurs vu le jour afin de répertorier tous les « Local Heroes » permettant aux citoyens de trouver rapidement les produits frais dans leurs alentours. L’épidémie de COVID-19 pourrait donc servir d’accélérateur à une transition du secteur alimentaire vers une agriculture biologique, qui en prime d’offrir une nourriture saine et de soutenir les petits producteurs locaux, permettrait de séquestrer le carbone dans les sols à un taux suffisant pour inverser le cours de la crise climatique.

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La décroissance en faveur de l’écologie

En étant forcé de rester chez soi, on se rend compte que le changement est possible, ce n’est qu’une question d’habitudes et de volonté. De nombreuses personnes prennent ce temps pour faire un grand nettoyage de printemps, pour faire du tri et pour se débarrasser d’objets futiles. On s’aperçoit alors qu’un certain nombre de choses que l’on entasse depuis des années et que nous pensions indispensables, se révèlent en fait insignifiantes. Au-delà de ça, puisque le lèche-vitrine est devenu impossible, on devient plus riche en dépensant moins, mais on devient également plus riche intérieurement puisqu’on a le temps de se retrouver et de retourner à nos valeurs essentielles. Pierre Rabhi, fervent de la sobriété heureuse, ce mode de vie qui consiste à réduire sa consommation et ses impacts en menant une vie axée sur la famille, la communauté et l’écologie, disait d’ailleurs « La sobriété est une option heureuse qui produit une vie allégée, tranquille et libre. Le bonheur n’est pas dans la possession, dans l’avoir, mais dans l’être ». Pour les personnes chanceuses d’avoir un terrain, le confinement leur offre le temps d’entretenir leurs extérieurs et de créer des potagers privés. D’ici quelques mois, ces jardiniers en herbe récolteront leurs propres légumes, consommeront et dépenseront donc moins en mangeant on ne peut plus local ! Finalement, pour les plus sensibles à l’environnement, on peut également espérer une augmentation du nombre de gestes écologiques tels que la création d’hôtels à insectes, de haies à abeilles ou de mares dans les propriétés privées qui favorisent la pollinisation et la biodiversité.

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_O° ESPOIR DE CHANGEMENT DE NOS SOCIETES °O_

Adaptation gouvernementale à la suite de la crise sanitaire

Afin de lutter contre les maladies infectieuses d’origine animale, le gouvernement chinois a interdit de façon permanente la chasse, le commerce, le transport et la consommation d’animaux sauvages non aquatiques dès le 24 février 2020. Bien que ces restrictions s’appliquent à des fins alimentaires, des contrôles plus stricts ainsi que la mise en quarantaine d’espèces exotiques seront également mis en place. Et même si ces règles ne mettront pas fin au commerce illégal, elles devraient aider à le réduire et on peut espérer que cela serve d’exemple pour évoluer vers une interdiction mondiale de ces marchés. En plus de diminuer les potentiels risques de propagation de virus dans l’avenir, ces interdictions peuvent également amener les populations et les générations futures, qui ne grandiront pas avec le commerce d’animaux sauvages, à évoluer vers un respect accru des animaux et de leur bien-être, et donc de leur offrir une meilleure protection en milieu sauvage en préservant leurs habitats naturels.

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Interdiction des activités de chasse et pêche

Afin de respecter les consignes données par le gouvernement suite à l’épidémie du coronavirus, notamment le confinement et les mesures de distanciation sociale, le président des chasseurs, Willy Schraen, a annoncé que toute action de chasse, piégeage et d’agrainage est désormais temporairement interdite. En plus de suspendre les activités liées à la chasse, la direction départementale des territoires et de la mer de la préfecture de la Manche proscrit également la pêche dès le jeudi 19 mars et ce jusqu’à nouvel ordre. Carlos Duarte, un chercheur du centre de recherche de la Mer Rouge en Arabie Saoudite, espère que la fermeture exceptionnelle de la pêche permettra de renouveler les réserves de poisson en milieu marin de manière accélérée et d’atteindre certains objectifs de conservation jusqu’alors compromis par les activités humaines. Le gibier et les poissons peuvent donc respirer tranquillement le temps du confinement.

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Vers une transition écologique

Selon un extrait du texte « Le monde qui marchait sur la tête est en train de remettre ses idées à l’endroit » écrit par Coline Serreau (actrice, réalisatrice, scénariste, compositrice et chef de chœur française qui a notamment écrit et dirigé les films Trois hommes et un couffin, La Crise et La Belle Verte) : « La guerre contre les virus sera toujours perdue, mais l’équilibre entre nos vies et la leur peut être gagné si nous renforçons notre système immunitaire par un mode de vie non mortifère. » Plutôt que de se faire surprendre par des maladies de plus en plus virulentes, il serait temps de repenser les sociétés de sorte à prévenir ce genre de situation grâce aux connaissances scientifiques qui nous permettent de concevoir des économies plus vertes et circulaires. Une gestion inspirée de solutions basées sur la nature et tournées vers le bien public permettrait d’atténuer les menaces du changement climatique, du déclin de la biodiversité et des pandémies. En effet, la déforestation et la destruction des habitats conduisent la faune sauvage à se rapprocher des populations humaines, augmentant le risque de zoonoses (maladies transmises par les animaux aux humains). Puisque la crise sanitaire du SARS-CoV-2 démontre qu’il est possible de changer de modèle du jour au lendemain, profitons de cette opportunité pour investir dans la résilience, la prospérité partagée, le bien-être et la santé de la planète. Dans ce sens là, la commission européenne a par ailleurs rédigé un « pacte vert pour l’Europe » ayant pour but de devenir le premier continent neutre pour le climat à l’aide d’une nouvelle stratégie de croissance basée sur une économie moderne, compétitive, respectueuse et efficace dans l’utilisation des ressources.

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Vers un nouveau rapport aux Autres habitants de la Planète

Par ailleurs, les citoyens se mettent à communiquer aux autres des regards différents sur ce que la présence de ce virus pourrait nous permettre de tirer comme autre manière d’organiser notre vie. Par exemple cette « Lettre de la part d’un Virus : ’Ecoute’ » qui a beaucoup circulé au travers des membres des différentes communautés actives sur la défense des Droits de la Nature

D’autres personnes diffusent leurs informations par écrit, par exemple ces 2 lettres qui se sont mises à circuler, également, au travers des membres des différentes communautés actives sur la défense des Droits de la Nature

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NOUS NE SOMMES PAS EN GUERRE

NOUS NE SOMMES PAS EN GUERRE et n’avons pas à l’être...

Il est intéressant de constater combien nous ne savons envisager chaque événement qu’à travers un prisme de défense et de domination.
Les mesures décrétées hier soir par notre gouvernement sont, depuis ma sensibilité de médecin, tout à fait adaptées. En revanche, l’effet d’annonce qui l’a accompagné l’est beaucoup moins.
Nous ne sommes pas en guerre et n’avons pas à l’être.

Il n’y a pas besoin d’une idée systématique de lutte pour être performant.

L’ambition ferme d’un service à la vie suffit.

Il n’y a pas d’ennemi.

Il y a un autre organisme vivant en plein flux migratoire et nous devons nous arrêter afin que nos courants respectifs ne s’entrechoquent pas trop.
Nous sommes au passage piéton et le feu est rouge pour nous.

Bien sûr il y aura, à l’échelle de nos milliards d’humains, des traversées en dehors des clous et des accidents qui seront douloureux.

Ils le sont toujours.

Il faut s’y préparer.

Mais il n’y a pas de guerre.

Les formes de vie qui ne servent pas nos intérêts (et qui peut le dire ?) ne sont pas nos ennemis.

Il s’agit d’une énième occasion de réaliser que l’humain n’est pas la seule force de cette planète et qu’il doit - ô combien- parfois faire de la place aux autres.

Il n’y a aucun intérêt à le vivre sur un mode conflictuel ou concurrentiel.

Notre corps et notre immunité aiment la vérité et la PAIX.

Nous ne sommes pas en guerre et nous n’avons pas à l’être pour être efficaces.

Nous ne sommes pas mobilisés par les armes mais par l’Intelligence du vivant qui nous contraint à la pause.

Exceptionnellement nous sommes obligés de nous pousser de coté, de laisser la place.

Ce n’est pas une guerre, c’est une éducation, celle de l’humilité, de l’interrelation et de la solidarité Solidaire
Solidarité Passez des vacances solidaires ? Aider à approfondir la compréhension actuelle des océans ? C’est possible avec nos stages nature baleines et dauphins. ."

Sophie Mainguy, médecin urgentiste

L’HUMANITÉ ÉBRANLÉE ET LA SOCIÉTÉ EFFONDRÉE PAR UN PETIT MACHIN

Un petit machin microscopique appelé coronavirus bouleverse la planète. Quelque chose d’invisible est venu pour faire sa loi. Il remet tout en question et chamboule l’ordre établi. Tout se remet en place, autrement, différemment.

Ce que les grandes puissances occidentales n’ont pu obtenir en Syrie, en Lybie, au Yemen, ...ce petit machin l’a obtenu (cessez-le-feu, trêve...).

Ce que l’armée algérienne n’a pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu (le Hirak à pris fin).

Ce que les opposants politiques n’ont pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu (report des échéances électorales. ..).

Ce que les entreprises n’ont pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu (remise d’impôts, exonérations, crédits à taux zéro, fonds d’investissement, baisse des cours des matières premières stratégiques. ..).

Ce que les gilets jaunes et les syndicats n’ont pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu ( baisse de prix à la pompe, protection sociale renforcée...).

Soudain, on observe dans le monde occidental le carburant a baissé, la pollution a baissé, les gens ont commencé à avoir du temps, tellement de temps qu’ils ne savent même pas quoi en faire. Les parents apprennent à connaître leurs enfants, les enfants apprennent à rester en famille, le travail n’est plus une priorité, les voyages et les loisirs ne sont plus la norme d’une vie réussie.

Soudain, en silence, nous nous retournons en nous-mêmes et comprenons la valeur des mots solidarité Solidaire
Solidarité Passez des vacances solidaires ? Aider à approfondir la compréhension actuelle des océans ? C’est possible avec nos stages nature baleines et dauphins. et vulnérabilité.

Soudain, nous réalisons que nous sommes tous embarqués dans le même bateau, riches et pauvres. Nous réalisons que nous avions dévalisé ensemble les étagères des magasins et constatons ensemble que les hôpitaux sont pleins et que l’argent n’a aucune importance. Que nous avons tous la même identité humaine face au coronavirus.

Nous réalisons que dans les garages, les voitures haut de gamme sont arrêtées juste parce que personne ne peut sortir.

Quelques jours seulement ont suffi à l’univers pour établir l’égalité sociale qui était impossible à imaginer.

La peur a envahi tout le monde. Elle a changé de camp. Elle a quitté les pauvres pour aller habiter les riches et les puissants. Elle leur a rappelé leur humanité et leur a révélé leur humanisme.

Puisse cela servir à réaliser la vulnérabilité des êtres humains qui cherchent à aller habiter sur la planète mars et qui se croient forts pour clôner des êtres humains pour espérer vivre éternellement.

Puisse cela servir à réaliser la limite de l’intelligence humaine face à la force du ciel.

Il a suffi de quelques jours pour que la certitude devienne incertitude, que la force devienne faiblesse, que le pouvoir devienne solidarité et concertation.

Il a suffi de quelques jours pour que l’Afrique devienne un continent sûr. Que le songe devienne mensonge.

Il a suffi de quelques jours pour que l’humanité prenne conscience qu’elle n’est que souffle et poussière.

Qui sommes-nous ? Que valons-nous ? Que pouvons-nous face à ce coronavirus ?

Rendons-nous à l’évidence en attendant la providence.

Interrogeons notre « humanité » dans cette « mondialité » à l’épreuve du coronavirus.

Restons chez nous et meditons sur cette pandémie.

Aimons-nous vivants !

Moustapha Dahleb, Ecrivain tchadien

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Progression du télétravail

Puisque les mesures gouvernementales prises pour donner suite à l’épidémie de COVID-19 nous incitent à éviter les déplacements et rester chez soi, de nombreuses entreprises, généralement frileuses face au changement, ont été forcé de développer des alternatives afin que leurs salariés puissent continuer à travailler depuis leur lieu de confinement. En plus de diminuer le nombre de transports, et donc la pollution de l’air, l’essor du télétravail permet également de désengorger les mégapoles et de gagner du temps. En effet, le temps que l’on ne passe pas dans les transports peut alors être utilisé pour d’autres activités moins anxiogènes, telles que notre bien-être, s’occuper de notre famille et de notre environnement. Selon une étude de Malakoff Médéric, en plus de responsabiliser ses employés, le télétravail permettrait également de nombreux bénéfices aux entreprises. Il constate par exemple un engagement et une autonomie accrus des travailleurs, un gain d’image pour les sociétés ainsi qu’une baisse de l’absentéisme. Plus respectueux de l’environnement, ce mode émergent de travail à domicile prédit peut-être un avenir plus soucieux de la planète et de notre santé.

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Vers un avenir meilleur ?

« L’optimiste ne refuse jamais de voir le côté négatif des choses ; il refuse simplement de s’attarder dessus. » Alexandre Lockhart

Bien que cet article nous apporte un peu de fraîcheur et de légèreté dans cette situation difficile, on s’apprête déjà à l’après COVID-19. On espère qu’il puisse également servir par la suite pour prendre conscience et souligner des changements radicaux qui ont été possibles grâce aux restrictions imposées par les gouvernements afin de lutter contre le coronavirus. Puisque « vouloir c’est pouvoir », on souhaite donc qu’une bonne partie de ces changements perdurent au-delà de la crise sanitaire et nous pousse vers un avenir meilleur grâce à une évolution que l’on peut choisir. De ce fait, plus les exemples seront nombreux dans cet article et plus nous aurons une check-list complète et réaliste qui pourrait être utilisée comme tutoriel des bons gestes à garder pour le bien de l’humanité et de son environnement. Cette feuille de route pourrait nous servir d’aide-mémoire aux leçons qu’on a apprises durant cette situation et sera adressée aux gouvernements afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs dans le futur en proposant des projets constructifs plus respectueux de l’Homme et de la nature. De la même manière, les sites #OnNoublieraPas et « Fraternité ! COVID-19 » vous propose d’immortaliser toutes vos bonnes idées qui ont mûri durant cette crise sanitaire, sociale et économique pour que l’on garde en mémoire tous les changements positifs aidant à faire émerger une nouvelle société !

Sources :

_O° SCIENCES PARTICIPATIVES sciences participatives Les sciences participatives et sciences citoyennes sont au cœur de notre projet. En effet, c’est un moyen ludique et citoyen de compléter des travaux scientifiques.

Lors des différentes missions, nous regroupons les données que nous avons récoltées et les partageons avec le monde de la recherche. Cela permet à tous ceux qui sont intéressés par la recherche scientifique, sans pour autant avoir une implication directe dans la recherche, de s’informer des dernières avancées
Votre action contribue donc à l’avancée de la science !


L’exercice de vulgarisation scientifique prend différentes formes. Il peut s’agir de l’observation de différentes espèces animales : oiseaux, insectes, reptiles et mammifères, afin de les répertorier. Cela peut également s’appliquer à la biodiversité marine. La vulgarisation peut également être appliquée à la géologie grâce au développement des technologies satellites qui se sont démocratisées grâce à l’essor du drone (géo-référencement), et même dans le domaine de l’astronomie par la cartographie du ciel.

Les possibilités sont nombreuses et ne demandent qu’à être saisies.

L’expérimentation des nouvelles technologies de collecte scientifique fait partie intégrante de nos séjours. L’utilisation de la photographie numérique, des Spectrophotomètres, ainsi que de microscopes et de drones font partie du matériel que nous mettons à disposition dans nos colonies de vacances.
Les séjours que nous proposons sont aussi variés que les outils scientifiques à notre portée : observation de l’éclipse totale aux Etats-Unis en 2017, suivi des cétacés à Tahiti, ou encore découverte de la somptueuse panthère des neiges au Kirghizstan sont au programme. °O_

Une autre manière d’investir son temps de confinement à des fins utiles pour la société est de contribuer à des sciences citoyennes sciences citoyennes Les http://www.vacances-scientifiques.com/-Liste-des-Sejours-.html. . Ces dernières sont des programmes de recherche étudiant différents domaines scientifiques qui font appel à la population, amateure ou spécialiste, afin de compléter les données par les observations récoltées par les citoyens. Ces sciences participatives sont donc ouvertes à tous, débutants compris, puisqu’il y aura toujours du soutien d’experts vérifiant les informations. Elles permettent d’offrir des données précieuses à la communauté scientifique puisqu’elles regroupent le travail de passionnés que les chercheurs seuls n’auraient pas pu effectuer. En plus de permettre de diversifier et d’améliorer les connaissances sur la biodiversité, les résultats de ces recherches collaboratives peuvent également être utilisées à des fins pédagogiques pour éduquer et sensibiliser le public, qui une fois éclairé, pourra ainsi mieux protéger son environnement. De nombreux « Mooc » (Massive Open Online Courses), cours gratuits à distance, sont disponibles sur différents sujets comme Botanica pour se former à la botanique ou Ornitho et Natagora pour apprendre à reconnaître les oiseaux et leurs chants mélodieux. La Salamandre propose également des vidéos pour cet apprentissage ornithologique et la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) propose notamment un défi à relever le temps de la crise liée à COVID-19 afin de mieux découvrir les oiseaux de nos jardins. Certaines écoles proposent également des sciences participatives de la maternelle au lycée, comme c’est le cas de Vigie Nature Ecole qui a également créer spécialement un dossier sur les choses à observer pendant le confinement. Similairement à Spipoll, qui utilise les données récoltées par les citoyens pour faire un suivi des insectes pollinisateurs, de nombreux autres dispositifs de sciences participatives existent en France, dont un annuaire non exhaustif peut se trouver sur le site de Nature France.

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Sources :

Annuaire des dispositifs de sciences participatives de France
http://www.naturefrance.fr/sciences-participatives

Mooc Botanica pour se former à la botanique
https://mooc.tela-botanica.org

Mooc Ornitho pour apprendre à reconnaître les vocalisations des oiseaux
https://www.facebook.com/watch/?ref=saved&v=249803312722753

Natagora cours sur Skype sur les chants d’oiseaux
https://www.rtbf.be/info/regions/luxembourg/detail_des-cours-sur-skype-pour-reconnaitre-les-chants-des-oiseaux-pendant-le-confinement?id=10476113

Vidéo de la Salamandre pour apprendre à reconnaître les oiseaux
https://www.salamandre.org/article/observez-les-oiseaux-des-villes-et-villages

Défi de la LPO pour l’observation des oiseaux de nos jardins
https://www.facebook.com/watch/?ref=saved&v=519847452267913

Vigie Nature Ecole
https://www.vigienature-ecole.fr
http://www.vigienature.fr/fr/actualites/qu-observer-pendant-confinement-3654

Spipoll pour faire un suivi des insectes pollinisateurs
https://www.spipoll.org

Objectif Sciences International : ONG reconnue par l’ONU offrant des séjours de recherches participatives et solidaires
https://www.facebook.com/ObjectifSciencesInternational/posts/3755845414489042

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Formulaire d’Observation et de Contribution Citoyenne Formulaire « Alerte aux Fake News »
Vous avez observé un phénomène naturel intéressant suite aux mesures prises par les gouvernements pour lutter contre la pandémie COVID-19 ? Vous avez une forte présomption que le monde est en train de changer et vous aimeriez partager votre opinion ? Votre avis nous intéresse ! Vous pouvez à tout moment utiliser ce formulaire pour nous communiquer vos observations et nous prendrons en compte toutes vos remarques afin de compléter cet article qui se veut participatif.

Cause, conséquence, changement apporté, quel avenir…

Observation effectuée par vos soins ou par un-e ami-e, inspiration personnelle, site internet, réseaux sociaux, livres, photo, vidéos… autre

Si vous avez une photo de votre observation, téléchargez la ici (max 5 Mo)

 Dans un monde bombardé de faits divers et variés, nous ne prenons malheureusement pas toujours le temps de vérifier nos sources et la validité des informations reçues. Pour contrer cela, nous vous proposons quelque chose d’unique au monde : un formulaire d’alerte aux fake news qui vous permet de travailler votre esprit critique en nous faisant part de vos doutes ! Pour cela, il suffit de nous préciser quel article vous remettez en cause, de nous expliquer pourquoi vous pensez que certaines divulgations sont fausses et de nous proposer des solutions pour améliorer l’article afin de restaurer la réalité.

Qu’est-ce qui est faux et pour quelles raison ?

Observation effectuée par vos soins ou par un-e ami-e, autre

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