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Nature au Sommet - Alpinisme et Biodiversité - Spécial AdultesNiveaux 2 à 4

Spécial adultes : recensez la faune et la flore d'altitude en vous initiant à l'alpinisme ! ↓ Lire le descriptif détaillé plus bas ↓ Niveaux 2 à 4

Nature au Sommet - Alpinisme et Biodiversité - Spécial AdultesNiveaux 2 à 4

Spécial adultes : recensez la faune et la flore d'altitude en vous initiant à l'alpinisme ! ↓ Lire le descriptif détaillé plus bas ↓ Niveaux 2 à 4

Biodiversité - 7 ou 15 jours - Suisse
Des séjours et des voyages qui changent le monde
Des aventures hors du commun, des projets de sciences participatives pour le développement durable

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Immersion Nature

Endurance physique

Production de données

Accessibilité

Introduction

Altimètre, cordes, guides naturalistes et jumelles sont prêts : à l’assaut des sommets pour observer fleurs et animaux d’altitude ! Voilà un projet ambitieux qui plaira à ceux qui ont envie de découvrir la biodiversité des hautes montagnes tout en s’initiant à l’alpinisme. Les parcours vers les divers sommets du projet suivent toujours en bonne partie les crêtes, et se font en randonnée ou en encordement selon la difficulté, de quoi nous en mettre plein la vue en surplombant les vallées. Chaque course est aussi l’occasion de vivre de beaux moments d’immersion dans l’ambiance incomparable des hautes montagnes avec des bivouacs à la belle étoile.

Le Séjour

Ce séjour existe aussi pour les adolescents, le descriptif est disponible ici

Un Séjour au Sommet !

Rejoignez l’aventure et partez explorer la biodiversité des sommets ! Durant ces vacances insolites Vacances Insolites Passer des vacances insolites. Nager avec les dauphins et les baleines. Participer à la recherche scientifique. C’est possible avec nos stages nature baleines et dauphins. , vous apprendrez à la fois à identifier les plantes alpines, mais aussi à bivouaquer en autonomie en pleine montagne, à dénicher les insectes d’altitude, à vous encorder les uns aux autres dans les passages délicats ou encore à observer chamois et rapaces des sommets... Beaucoup de découvertes en perspective ! Lors de la première semaine, les sommets se feront en randonnée afin de se concentrer sur l’apprentissage des protocoles scientifiques. La deuxième semaine, nous aborderons les sommets plus techniques nécessitant l’apprentissage des techniques d’encordement et de progression en alpinisme, qui se combineront avec les protocoles à réaliser.

Ce projet permet donc d’étudier la faune et la flore de la haute montagne, particulièrement méconnue car peu d’alpinistes s’y intéressent, et peu de biologistes savent faire de l’alpinisme ! Plantes en coussins dures comme de la pierre, insectes sans ailes, papillons ne volant qu’un été sur deux, animaux acrobates dans les falaises ... on trouve en effet de drôles de choses en altitude, y compris beaucoup d’espèces rares voire endémiques et uniques au monde ! Mais c’est aussi le royaume d’animaux sauvages et prestigieux, comme le Bouquetin des Alpes ou l’Aigle royal !

En plus de l’immersion dans l’ambiance magique de la haute montagne, quels sont les objectifs de ce séjour ? Et bien il s’agit de suivre année après année l’évolution de la biodiversité d’altitude, et de la mettre en rapport avec l’évolution du climat. C’est en effet sur les animaux et les fleurs de haute montagne que l’on peut le plus efficacement étudier les impacts des changements climatiques sur la biodiversité.

En parallèle de nos autres séjours sur la nature et la biodiversité du Val d’Anniviers (« A l’affût de la Biodiversité » et « Pisteur des Alpes »), c’est à une opération d’envergure de suivi de la biodiversité sur l’ensemble de la vallée que vous pouvez participer !

© OSI/pierre peyret, OSI/bastien, Wolfgang Dirscherl/pixelio.de

Vidéo

Le Projet de Recherche

Plusieurs objectifs scientifiques seront poursuivis durant ce séjour.

Le cœur du projet consiste à la réalisation d’un suivi de la répartition altitudinale de la faune et de la flore de haute montagne : il s’agit d’observer l’évolution, année après année, des altitudes maximales et minimales auxquelles sont observées telles ou telles espèces. Ceci nous permettra de récolter des informations de qualité sur l’impact de l’évolution du climat sur la biodiversité du Val d’Anniviers en particulier, et de la montagne en général.

Ce projet est ensuite inclus dans un projet plus large de suivi de la biodiversité du Val d’Anniviers réalisé par le programme Biodiversita avec nos autres séjours sur place (« A l’affût de la Biodiversité » et « Pisteur des Alpes »). Les données récoltées serviront donc également à notre inventaire global de la biodiversité de cette vallée ainsi qu’à parfaire notre compréhension des différentes causes d’évolution de celle-ci.

A plus grande échelle, les données seront transmises aux organismes chargés du suivi de la biodiversité à un niveau régional (collectivités, associations), national (Centre Suisse de Cartographie de la Faune (CSCF) géré par l’Université de Neuchâtel) et international (GBIF – Global Biodiversity Information Facility – Système Mondial d’Information sur la Biodiversité). A grande échelle, ces données pourront servir à étudier l’évolution de la biodiversité en relation – par exemple – avec l’évolution de la pression humaine sur l’environnement.

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Concepts Appris sur le Séjour

Écosystèmes - Biologie des populations - Indices de présence - Réintroduction d’espèces animales - Suivi animal - Transects - Prélèvements - Ornithologie - Botanique - Entomologie - Mammalogie - Herpétologie - Mycologie - Milieux naturels - Communautés biologiques - Inventaire de la biodiversité - Échantillonnage - Comptage - Identification

Le Matériel Utilisé

Carte topographique - Épuisette (filet troubleau) - Filet à papillons - Herbier - Jumelles - Loupe de terrain - Loupe binoculaire - Lunettes d’observation - Photographie numérique - Piège à insectes - GPS - Clés de détermination - Pièges-photos - Moulage pour empreintes - Carnet de terrain - Filet fauchoir - Parapluie japonais - Fiole d’échantillonnage

Le lieu

Le village de Zinal se situe dans le val d’Anniviers, vallée sauvage et charmante du Valais Suisse qui offre des vues magnifiques et une ambiance accueillante.

Les sommets environnants culminent à plus de 3’000 mètres, voire 4’000 mètres pour certains ! Parmi ces magnifiques sommets se trouve le Cervin (Matterhorn) montagne la plus célèbre de Suisse.

Le cadre de montagne est magnifique en été comme en hiver. La géologie est particulièrement intéressante (cristaux, métaux...) et il y a encore de nombreux glaciers, comme celui du Moiry, au pied duquel nous allons souvent bivouaquer l’été. La Biodiversité est extrêmement riche, avec une grande diversité de milieux (forêts, pré de fauche, alpages, falaises…), une flore très diversifiée et une grande faune abondante (Loup, Cerf, Bouquetins…).


Dans le val d’Anniviers, il n’y a que quelques villages rustiques et la vallée qui a une riche histoire est très bien préservée, bien qu’habitée depuis fort longtemps. On y trouve, entre autres, des mines, deux sites de pierres à cupules, vestiges mystérieux du néolithique, de nombreux moulins du XVIIIe siècle et l’espace dédié à Ella Maillart, exploratrice et aventurière Suisse. Vous le verrez, l’architecture rustique est très particulière et complètement adaptée aux contraintes propres à cet étage montagnard.

L’été, les villages de la vallée sont les bases de départ en randonnée des amoureux de la nature et de la montagne.

Un avantage important du lieu est le réseau de cars postaux ainsi que les téléphériques et funiculaires particulièrement efficaces qui nous permettent de nous déplacer facilement dans toute la vallée, en limitant notre empreinte carbone.

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Le Quotidien sur Place

Vous l’aurez deviné, nous serons le plus souvent en montagne. Un maximum de temps sera donc passé en altitude à se familiariser avec la faune et la flore d’altitude, avec plusieurs bivouacs de prévus afin de faciliter l’accès aux sommets et la réalisation des protocoles scientifiques.
Sac à dos, carnet de terrain, loupe, jumelles, GPS et tout le matériel du LINABIO (le Laboratoire d’Identification Naturaliste Biodiversita) et nous partons pour des prospections sur les cimes !
Pour ceux restant la deuxième semaine, nous ajouterons au défi les progressions encordées avec un guide de haute montagne, et donc une initiation aux techniques d’alpinisme.

Mais qu’entend-on par prospection ? Il s’agit de temps d’observation où nous allons aiguiser nos sens et notre curiosité pour dénicher et découvrir grande faune des sommets, fleurs éphémères des bords de glaciers, oiseaux nichant dans les falaises, et bien d’autres encore ! Le tout de manière dynamique et pédagogique, en associant toujours rigueur scientifique et plaisir !

Les nuits en bivouac nous permettent de prendre le temps pour accéder sereinement aux sommets tout en réalisant nos protocoles scientifiques. Panoramas époustouflants, pelouses moelleuses, sursacs et duvets avec les étoiles au-dessus de la tête la nuit... vous en garderez des étoiles plein les yeux !

A tout cela, n’oublions pas les moments de détente bien mérités après chaque ascension. Vous aurez donc aussi des temps pour vous au gîte, pour vous reposer, vous balader aux alentours ou pour rejoindre des activités diverses non scientifiques proposées.

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L'Équipe

Sylvain Allombert est le responsable scientifique et technique du Programme de Recherche « Biodiversita ». Une thèse de doctorat en écologie entre la France et le Canada lui fera découvrir sa vocation : la vulgarisation des connaissances scientifiques sur la Biodiversité. C’est dans une association qu’il pourra développer ses compétences dans ce domaine, travaillant avec tous types de publics, des jeunes enfants aux professionnels. Au niveau naturaliste, c’est un généraliste ayant exercé comme ornithologue, entomologue ou écologue, en touchant également d’autres domaines comme la botanique, les mammifères, les reptiles ou les amphibiens.

Sur ce séjour, Sylvain sera en charge de l’organisation des activités scientifiques. Ses connaissances extrêmement diversifiées sur le monde naturel ne manqueront pas de satisfaire la curiosité des participants ! Fort d’une expérience comme bénévole du Club Alpin Français en charge de l’initiation à l’alpinisme, il apportera également ses compétences pour l’initiation des participants aux techniques de sécurité.

Catherine Marais Après un doctorat en dynamique des fluides sur l’étude du vol des oiseaux, Catherine s’est passionnée pour la communication scientifique et les sciences du terrain. Enthousiaste et curieuse de tout ce qui a trait aux sciences de la nature, son implication au sein d’Objectif Sciences International lui a permis de se former dans les sciences naturalistes et sciences de la terre, directement sur le terrain. Elle intervient dans plusieurs séjours d’OSI en tant qu’éducatrice scientifique pour partager le plaisir d’apprendre sur ce qui nous entoure, la joie de s’immerger dans la nature et l’ambition de réaliser de réels projets de recherche participative. Par ailleurs, elle fait partie de l’équipe pédagogique qui encadre les formations naturalistes du programme Biodiversita.
Ses domaines de prédilections concernent l’ornithologie, la botanique et la géologie/volcanologie.

Sandrine Bervas Diplomée d’Etat d’Escalade depuis 2016 et titulaire d’un master en gestion et protection des milieux de montagnes.
C’est sur les falaises de Savoie et le contact avec le public qu’elle a pu mettre à profit sa passion de la montagne.
En parallèle, elle se forme aux sciences naturelles (botanique, zoologie, minéralogie) pour transmettre ces connaissances lors de séjour en montagne avec différents publics.

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L'Hébergement

Vous serez accueillis au Chalet Ellen, idéalement situé au pied de la Couronne Impériale dans le village de Zinal. A l’extrémité sud de la superbe vallée qu’est le Val d’Anniviers, Zinal, historiquement associé à l’essor de l’alpinisme, est aujourd’hui mondialement connu par la célèbre course Sierre-Zinal.

Dans ce lieu convivial et chaleureux au coeur de la vallée, nous pourrons profiter des nombreux espaces communs, en intérieur et en extérieur, pour les activités scientifiques, les repas et les moments de repos. Nous y dormirons dans de belles chambres de 2 à 3 personnes.

Les repas sont équilibrés et variés ! C’est donc dans une atmosphère familiale et chaleureuse que nous vivrons dans ce chalet, au cœur de la culture suisse.

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Témoignages

Par Elie R.

J'ai eu le privilège de participer aux deux semaines du projet "Nature au Sommet" pour adultes en juillet 2023, et je dois dire que c'était tout simplement génial ! Dès notre arrivée, la cohésion entre les participants était au rendez-vous, avec des personnes très sympathiques et ouvertes d'esprit. Catherine et Sylvain, nos deux encadrants, étaient exceptionnels. Leur passion pour la nature qui nous entoure était palpable, et ils avaient tellement de connaissances à partager. L'organisation était impeccable, avec de très bons repas variés et équilibrés qui nous ont permis d'aller jusqu’en haut. Les sommets que nous avons gravis étaient tout simplement magnifiques à l’image du val d'Anniviers, avec des vues à couper le souffle. C’était aussi ma première fois en bivouac et c’était vraiment dingue de dormir à la belle étoile en immersion totale dans la nature (: Quant au projet scientifique, il était conçu pour être accessible à tous, ce qui était très valorisant pour les participants. Même si vous n'avez jamais fait de botanique, ne vous inquiétez pas ! Nous avons commencé par les bases en début de semaine, ce qui nous a préparés parfaitement pour le protocole scientifique. C'était une expérience incroyablement enrichissante, à la fois sur le plan humain et scientifique. Sans parler du bien que cela fait d’être dans un environnement aussi riche que les Alpes suisses. Je recommande vivement cette expérience à quiconque souhaite allier aventure, découverte de la nature et contribution à la science. C'était tout simplement génial, merci encore ! Si vous voulez voir un descriptif de tout ce qu’on a fait, très bien écrit par Catherine, c’est ici : https://osi-biodiversita.org/Nature-au-sommet-Adultes-du-9-au-23-Juillet-2023.html

Par Quentin D.

J’avais peur qu’on fasse passer du ramassage de brindilles pour de la science, mais au final c’était vraiment super tip top ! On a quand même ramassé des brindilles, mais de manière fun et scientifique ! Je ressors de ce séjour avec plein de connaissances en naturalisme, avec des discussions passionnées échangées autour d’une tisane tard le soir, et avec des anecdotes bien marrantes comme cette matinée orageuse où on hurlait à la mort dans nos duvets pour chasser les démons du ciel... Lors des debriefs, j’étais content de remarquer qu’on avait collecté énormément de données, dont des données sur des espèces rares (c’est toujours gratifiant quand tu captures un papillon et que Sylvain vient vers toi en faisant « oooOOOOOHHH ! celui-là on l’a pas encore vu ! »). Hélas, la recherche en écologie ça prend du temps, beaucoup de temps, donc c’est pas demain qu’on pourra tirer tout plein de conclusions à partir de ces données. Mais ce n’est pas pour autant qu’il faut se décourager ! Il faut au contraire continuer à récolter tout plein de données A signaler, cette année l’alpinisme, ce n’est que la deuxième semaine. Au bout de la première, je me disais « ouais c’est cool ». À la fin de la deuxième, c’était « ouah c’était génial ! » Et même d’un point de vue scientifique, on gagne énormément en efficacité et en temps la deuxième semaine car on a déjà toutes les bases, on commence à bien connaître les espèces de faune et de flore par coeur, et on est capable de les identifier beaucoup plus vite. Juillet 2023.

Par Angèle M.

Un séjour incroyable !! Deux encadrants passionnés et passionnants qui m’ont permis de découvrir l’univers de la flore d’altitude et d’apprendre énormément de choses très intéressantes non seulement sur le projet scientifique de nature au sommet mais également sur plein de sujets liés. L’ambiance de groupe est toujours au top et une très bonne organisation avec toujours une concertation avec le groupe en cas d’imprévus. Les nuits en bivouac en montagne sont une super expérience et les randonnées sont vraiment sympa !!! Juillet 2023.


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FAQ

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Pour ces journées sur le terrain, comment s’organisera la logistique (poids du sac, nombre de nuités en bivouac, repas...) ?

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A prendre avec soi

Tout le matériel d’alpinisme spécifique pour la deuxième semaine (baudrier, corde, mousquetons, longes...) sera fourni. Il vous faudra néanmoins avoir des chaussures et des vêtements adaptés à la pratique de la haute montagne.
Voici la liste du matériel personnel à prendre avec vous lors de ce séjour (vous trouverez plus bas le fichier pdf récapitulatif du matériel nécessaire) :

> 1 Sac de couchage indiqué confort 0°C ou moins, idéalement pas trop lourd (moins de 2kg dans
tous les cas). A noter, la température extrême indiquée sur les sacs n’a presque aucune valeur contrairement à la température confort.

> 1 matelas de camping

> Un sac à dos de randonnée ou d’alpinisme. Il doit au minimum avoir une ceinture ventrale
confortable et des sangles extérieures pour accrocher du matériel

> Des chaussures adaptées : Il faut des chaussures assez solides et assez rigides. Les tennis, baskets et les chaussures de randonnée souples ne sont pas adaptées et poseraient des soucis de sécurité.

> Des vêtements chauds et adaptés :
◦ Un pantalon assez solide pour supporter les frottements contre le rocher, si possible synthétique pour vite sécher. Les jeans et pantalons épais en coton sont à exclure.
◦ Pour le haut, des vêtements chauds, le plus possible synthétiques pour sécher vite.
◦ Une paire de gants
◦ Un bonnet ou autre couvre-chef chaud
◦ 1 Veste coupe vent étanche pour la pluie avec capuche
◦ Le détail des autres vêtements recommandés est précisé plus bas

> Des protections solaires de qualité, étant donné les altitudes fréquentées (jusqu’à 3500m)
◦ Lunettes de soleil classe 3 ou 4. Un cordon pour les lunettes est intéressant pour les séances
d’escalade
◦ Crème solaire de très fort indice UV
◦ Casquette ou équivalent

> Autres éléments indispensables :
◦ Lampe frontale
◦ Une couverture de survie solide, soit les grises épaisses. Elle servira entre autre comme
protection lors des bivouacs. Les couvertures de survie fines sont inutilisables pour cela.
◦ Une ou deux gourdes totalisant au minimum 1,5L
◦ Une carte d’identité en cours de validité

Retrouvez la liste complète du matériel en pdf ici.

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Photos / Vidéos

© OSI : Sierre-Anniviers.ch, OSI/Iacopo Luino, Wolfgang Dirscherl/pixelio.de

© OSI : Sierre-Anniviers.ch, OSI/Sylvain Allombert/Iacopo Luino

© OSI : Sierre-Anniviers.ch, OSI/Iacopo Luino

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